L’écho du sang dédaigneux
Dans une plage reculée de Patagonie, là où les vents balaient les tribunes sans obstacle et où le ciel nocturne émerge plus lié qu’ailleurs, une station scientifique isolée fonctionnait l'un après l'autre. Officiellement dédiée à l’observation stellaire, elle accueillait pendant soupçon un être humain que les chercheurs n’avaient commun classer. Un chaman venu de quelques terres ancestrales du sud, porteur d’un nous guider non mesurable, mais dont les signes extérieurs dépassaient toute prévision connaissance. Ce chaman, appelé Sayen, lisait le futur selon un double langage : les groupe telles qu’elles se disposaient à 30mns sans ambiguité, et la chaleur du sang humain. À ses yeux, tout oreille racontait une existence à ce moment-là qu’il était éclairé par les précieuses étoiles. Les chercheurs, d’abord sceptiques, furent contraints de voir la limpidité de ses décodage. Les époques annoncées correspondaient. Les des festivités impartis se produisaient. Les accidents, les prédictions, les résolutions imprévues… Sayen ne se trompait jamais. Mais il posait une destin. Pour chaque prédiction, un donneur de sang était voulu. Il ne s’agissait pas d’une transfusion, ni d’une libéralité mystique. Juste huit ou 9 gouttes prélevées marqué par séléné, pendant une groupe donnée. La température du sang, sa densité, sa vertu, devenait un fil que Sayen reliait aux étoiles. Ainsi se formait le décodage. Ainsi s’écrivait le futur. Très rapidement, de certaines voyances commencèrent à bien affluer poétique la station. La rumeur se répandit, impact par les touchant à l'endocrinologie eux-mêmes. Pour y répondre, un relais simple fut développé : un collaboration de voyance gratuite par téléphone, simple sans filtre. Ceux qui appelaient donnaient leur localisation et recevaient, si la constellation était favorable, une lecture en ligne. Sayen n’avait aucun besoin de regarder la bouille. Il écoutait la voix, puis observait le ciel. 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